Sodom Insane

Un deuxième dictateur de mort ce mois-ci... dur dur d'être un fils de pute par les temps qui courent ! Bon ok, là c'est vrai qu'on a un peu forcé le destin, mais c'était pour bien finir l'année.
En attendant les vidéos sur YouTube où pour sa dernière apparition télévisuelle Saddam aura eu une bonne trique et se sera chié dessus, on continue de planifier la fin d'année en se remémorant le passé : les opportunités de vents qu'on aurait pu se prendre, ceux qu'on s'est effectivement pris, les photos compromettantes où une fille de votre promo fait mine de vous lécher le téton alors que vous être fin saoûl et consentant (tu m'étonnes !), la dernière soirée puceaux où des relents homosexuels se sont fait fortement sentir... Promis, la prochaine fois, Domie emballe, Rama met les doigts & Mastaz ouvre un Myspace dédié à la gloire Puceau-esque.

Inutile de finir dans un cul-de-jatte, après tout.

Un jour mon prince viendra

Depuis que Jésus a pris un méchant coup dans la gueule quand la branche de l'aspirateur est tombée sur la crèche de santons, je cherche à m'occuper autrement qu'en pensant à ce qu'il pourrait me faire subir en guise de représailles : pucellerie pour la vie, sodomie à la volée comme dans The L Word, etc.
En plus j'ai pété du même coup le miroir qui, disposé horizontalement, servait de support à la crèche, et toute la farine qui faisait la neige s'est barrée ; 7 ans de malheur sexuel, c'est vraiment ça que vous me souhaitez ??

Du coup je me tourne vers mes amis en mal d'amour du Forum de la Vie (Doctissimo), et je constate qu'ils hésitent à venir faire la fête avec nous, ayant peur d'un clan de puceaux décidés à se dérider la verge en agréable compagnie.
Que puis-je y répondre ? Si de jolies jeunes femmes comme celle-ci étaient prêtes à passer du temps avec une bande de déconneur loin d'être sociopathes, de jolies choses pourraient se dégager de cette union réciproque. Du coup, consterné par tant de préjugés et de mauvaises nouvelles s'abattant sur moi (la charcuterie coûte cher, et j'ai pété un miroir), j'écoute Hard Rock Hallelujah de Lordi pour raviver la flamme mythique qui me permettra de parvenir à mes fins le 31 décembre... ou d'enrichir notre futur top des plus gros râteaux.

Pucellerie, tes jours sont comptés !

Depuis que Rama s'est manifesté, un vent de folie souffle sur le site bien-aimé ; les puceaux soumis relèvent la tête, et bientôt un florilège incomparable de dragues ratées vous permettra de vous sentir bien mieux en vous assurant que quelque part, quelqu'un à fait pire que vous quand vous aviez mis la main de votre grand-mère pour prouver à votre mignonne cousine que vous aviez des burnes.

Toujours est-il qu'en attendant ce classement opportun, Superpuceaux se plie en 4 pour vous inviter à la soirée de l'année, celle du 31 décembre totalement oragnisée et supervisée par les bites en peine sachant taper au clavier que nous sommes. Eh oui, devant notre manque flagrant de charisme nos permettant de chopper en paix à un arrêt de bus, nous avons décidé de réquisitonner l'appart d'un sympathisant pour y implanter une fête de fin du monde dont on se souviendra.
Comme il se peut très bien que nous soyions plus proches que vous ne le pensiez, n'hésitez pas à nous laisser un message pour une invitation à la soirée débauche, celle dont vous sortirez peut-être avec l'état de pucellerie en moins !!

N'oubliez pas : la Saint Sylvestre sera peut-être vôtre, dans un univers où tout sera possible en compagnie de vos semblables et de certaines autres surprises susceptibles de vous mettre tétraplégique de l'anus !!

Presque plus puceau de baston !

En exclusivité pour Superpuceaux et pour fêter un avènement christique majeur (1000 visiteurs mon gars !), je vais vous raconter dans les détails qui me reviennent la soirée de jeudi:


Après avoir préparé mes affaires pour la soirée (un pull cool, des chaussures cools, la capote qu'on a eu à la sortie du RU à midi), j'ai enfourché Nostradamus (mon vélo, si vous vous souvenez) pour tracer ma route vers une soirée remplie de filles faciles et d'hommes toujours consentants. Arrivée à 22h devant chez Enora, j'attends un moment avant qu'elle ne sorte finalement, puis la fille que Domie voulait se faire est arrivée, et on a finalement pu y aller. Visiblement en chaleur, cette dernière parlait d'une soirée de gala d'ingénieur à laquelle elle voulait se rendre, pour se trouver un beau parti. C'est avec cette litanie frustrante que je fis le voyage.

La soirée avait lieu chez une fille qui aime faire du punch avec des jus de fruits et du rhum ; ma dernière soirée chez elle s'étant soldé par un tabassage de Harry parce qu'il avait cogné dans une voiture avec son propriétaire à portée de vue, j'ai vite senti que ça allait encore se finir de la même façon si je ne me tenais pas. Mais comme les gens arrivant progressivement étaient chiants, maqués ou pas beau, j'ai dû opérer un contre balancement alcoolique pour m'en sortir sain et sauf : la buverie fut mienne ce soir-là.
Après une période de battement où je restais assis, Pumpy vint me voir pour me faire sentir les volutes de la cigarette qui fait rire et par la suite, je butinais de filles en filles pour leur expliquer la vie et parler rapidement de Myazaki pour avoir l'air culturé.

Visiblement éméché car j'ai foutu un coup de pied à une fille pour aller aux toilettes, visiblement si perdu que j'en ai pris mes miches à pleines mains, un homme en a profité pour me claquer les fesses et ainsi me satisfaire d'une activité à laquelle j'aime m'adonner : la fessée. Grand bien leur en a pris jusqu'à ce que je me re-serve d'une énième boisson, la racaille locale accompagné de sa poupée fashion s'enorgueillant soudainement et me criant d'arrêter, que je suis défoncé, que je ne tiens pas l'alcool...ce qui est sans doute vrai, mais peu importe.
Voyant peu à peu ma dignité s'étioler devant l'assistance, sentant mon peu de virilité s'évanouir, j'ai repris les rênes en jouant au macho pur et dur : "Hey ferme-la ou j'te pète la gueule !". Bien mal m'en a pris car ne comprenant pas mon humour subtil pourtant accompagné d'une grand sourire complice, l'homme aimant visiblement la bière, le foot et les barbecues (et les bijoux vu sa boucle d'oreilles) s'est redressé pour me menacer de ne jamais lui redire ça, sous peine de voir mon petit corps valser par la fenêtre (comme un enfant qu'on jette par la fenêtre car les parents ne voulaient pas d'un petit déformé).

Bref, la soirée reprend son cours, j'oublie peu à peu grâce à l'agréable parterre de jolis filles (finalement, oui), et au moment de partir, l'homme viril me fait un grand sourire, que j'attribue à une trêve et à un pardon accordé. Ce n'était que pour mieux se redresser et m'insulter, bouillonnant de rage, tout en me poussant par à coups pour me provoquer. Choqué par ce comportement si primaire et indigne d'un homme censé représenter la race supérieure, je m'éloigne et immédiatement, une équipe se forme pour m'extraire de la pièce sans dommages : notre hôte s'interpose, la copine fashion y va de son "laisse tomber bébé d'amour !" et Enora me tient par le bras pour me guider tant je n'en puis plus.

Enfin extrait par une équipe professionnelle (dédicace à Elodie, trop blindée pour réagir), j'ai pu rentrer chez moi pour méditer sur les comportements asociaux de personnes ayant pourtant tout : une gueule carrée pour écraser des canettes de bière dessus, un substitut vivant de poupée gonflable pour coucher avec, des baskets blanches pour frimer en boîte, une boucle d'oreille pour pouvoir passer incognito dans les toilettes des filles, et sûrement une caisse tunée afin de se valoriser l'égo.


Au terme de cet article, je peux déjà vous annoncer un futur brillant pour Superpuceaux : plus d'histoires, d'anecdotes et de morceaux de vies pathétiques pour profiter de nos PC plutôt que de la vie. Le compteur indique 1000, mais ce n'est qu'un début vers la consécration !

Jak sie masz ?

Si vous avez l'impression que seul Domie fait des efforts pour trouver une partenaire sexuel et ainsi éclater les lattes de son lit, vous avez raison ; trop occupé à mater, je me perds en échappées violemment érotiques m'empêchant de faire le moindre mouvement. Du coup si dans mon pantalon c'est tout bandant, sur mon visage c'était plutôt dégoûtant.
Mais je suis sûr que la ken'nerie s'emparera un jour de moi, et que j'aurai même pas besoin de draguer des vieilles sur internet comme le nain Bernard, que je ne connais pas car Domie a d'autres amis puceaux que moi.


Un commentaire laissé il y a un moment à priori par quelqu'un en pleine possession de son corps me pousse à réagir quant à l'ouverture du site pour les masses. Alors oui, Superpuceaux se veut être une plate-fome égalitaire, mais gérée seulement pour le moment par des hommes, d'où son orientation assez marquée vers un public masculin (mais pas que gay quand même).
Le but ultime du site, au-delà de la simple poilade et de l'expression humaine d'une certaine sexualité, serait de pouvoir faire se rencontrer des pucelles et puceaux pour communiquer, se rencontrer, et achever de se transcender physiquement. Bien entendu, nous en sommes encore un peu loin mais l'idée germe peu à peu. En attendant, à défaut de pouvoir monter un forum de rencontres où les gens se renocntreraient selon la taille de sexe et l'ouverture du vagin, nous traînons sur le forum de la vie, où l'on peut parfois lire des témoignages de mari se demandant comment être un bon soumis à leur femme dominatrice.


Du coup, pour se changer un peu les idées, Domie et moi sommes allés au cinéma en bons puceaux, bras dessus, bras dessous, pour rigoler à pleine voie, regarder avec insistance de jeunes femmes ne parlant pas notre langue, et se permettre des commentaires déplacés nous arrachant de gros rires gras visant à faire valoir notre virilité.
Et si le film Borat m'a bien appris quelque chose, c'est de ne jamais avoir l'insouciante idée de laisser une fille jouer avec mon pénis : c'est comme donner un flingue chargé à un singe, on sait jamais ce que ça peut donner (et même si ça peut être drôle, ça peut aussi virer à la catastrophe)

Du coup nous avons été séduits par la vision du monde de Borat où une femme ne peut choisir son partenaire sexuel, mais doit au contraire se soumettre à sa volonté toute puissante.
Soudain, le Kazakhstan nous paraît bien loin.

Now you eat my asshole !